Les nuisances énergétiques : ce que personne n’ose dire Dans le milieu spirituel, beaucoup racontent qu’ils sont constamment pris pour cible, qu’ils encaissent tout ce que leurs clients portent, qu’on leur envoie des intentions négatives à distance, ou qu’ils sentent leur énergie “basculer ailleurs”. Certains finissent tellement épuisés qu’ils s’éteignent intérieurement à force de porter ce qui ne leur appartient pas. Et pourtant, une question simple devrait être posée à chaque fois : Comment en arrive-t-on à un tel point ? La réponse est brutale, mais indispensable : 👉 Ce n’est pas un problème d’attaque. C’est de l'ignorance. Beaucoup de praticiens se lancent en croyant que l’intuition fera office de maître, que l’univers comblera toutes les failles, ou qu’un bon cœur suffit à protéger un champ énergétique. Mais sur le terrain, voici ce que l’on retrouve en réalité : – Des personnes qui travaillent sans structure, sans racines, sans bases. – Des praticiens qui confondent sensibilité et absorption. – Des séances où les charges du client restent dans le champ du thérapeute. – Des fatigues profondes, progressives, qui finissent par faire s’écrouler la pratique. – Et surtout : des protections bricolées, mal comprises, parfois plus dangereuses qu’utiles. La vérité, c’est que sans cadre énergétique solide, le champ ressemble à une maison sans portes ni fenêtres. Tout circule librement : émotions, charges, projections… rien ne filtre, rien ne se pose, rien ne se structure. Pire encore : Certains pensent être protégés parce qu’ils ont “visualisé une lumière”, alors qu’en réalité ils ont ouvert une brèche sans le savoir. À ce stade, il ne s’agit plus de vulnérabilité. Il s’agit d’accumuler des dettes énergétiques qui finissent par peser lourd. Et le plus inquiétant ? Les clients subissent aussi les conséquences d’un praticien non formé : déséquilibres, transfert énergétique, confusion vibratoire, brèches ouvertes… C’est pour cela que des formations solides en nettoyage énergétique et en protection énergétique sont essentielles. Pas pour “faire joli”. Pas pour “compléter une boîte à outils”. Mais pour pratiquer de façon alignée, stable, sécurisée, pour soi comme pour les autres.